mardi 24 novembre 2009

Oui à la fessée !

Il est surprenant de voir que même à droite, mai 68 a encore beaucoup d'influence. C'est ainsi qu'une député a proposé une loi pour interdire la fessée. Celle-ci n'est pas gauchiste, comme on pourrait s'y attendre, mais bien issue de la majorité !

La doctrine marxiste soixante-huitarde qui veut interdire toute forme d'autorité et qui célèbre le culte de l'enfant-roi entend donc décider de comment on doit élever nos enfants ! Après avoir interdit aux professeurs de montrer physiquement leur supériorité, les voilà qui veulent faire de même pour les parents ! La fessée est pourtant très utile dans l'éducation, j'en ai d'ailleurs reçu de nombreuses pendant mon enfance, et c'est ce qui me permet d'être ce que je suis aujourd'hui : quelqu'un qui comprend les valeurs de notre pays, qui a su apprendre comment fonctionne l'économie, et qui sait respecter ceux qui lui sont supérieurs.

Il est intolérable de voir que l'angélisme des gauchistes continue de faire autant de dégâts aux valeurs morales de notre pays. La fessée est un moyen d'éducation, tout comme l'était le coup de bâton du temps de l'école de nos parents. Plutôt que de s'en prendre à elle pour améliorer l'éducation des enfants, on ferait mieux de s'attaquer aux vraies causes de la perte de l'autorité : le divorce, d'une part, mais aussi l'adoption homosexuelle qui se profile et menace l'équilibre des enfants. Mais bien sûr, les soixante-huitards sont pour ces régressions sans précédents...

lundi 23 novembre 2009

Non au politiquement correct !

Deux évènements récents ont démontré s'il le fallait que le politiquement correct règne en maître dans les médias marxistes, et qu'il y a des choses qu'on ne peut pas dire.

Le premier, c'est la distribution d'argent organisée à Paris. Une forme de marketing original qui rencontre un succès important dans le monde, mais visiblement pas en France, où des jeunes délinquants ont provoqué des violences à cette occasion. Pourtant, aucun journal n'a osé relevé le fait que ces délinquants étaient tous d'origine étrangère ! Le politiquement correct interdit de dire la vérité, mais n'importe qui saura qu'il ne pouvait pas s'agir de Français de souche.

Le second, c'est le match Algérie-Égypte, qui a fait beaucoup réagir les communautés maghrébines. Cette fois, c'est l'inverse : aucun journal n'a relevé les nombreux dégâts et infractions que les Algériens ont pu causer. Il est pourtant évident qu'une telle communauté, qui aime l'Algérie plus que le pays dans lequel on les laisse vivre, ne peut pas célébrer un match de football sans provoquer de violences. A t-on déjà vu des supporters d'équipes françaises commettre de tels actes ? Bien sûr que non. Une preuve supplémentaire que l'insécurité a pour seule source l'immigration.

Toujours en football, la main de Thierry Henri a donné lieu a de nombreux commentaires. Là encore, personne n'a relevé le fait que ce joueur, coupable de triche, n'était pas Français ! Comme le disait si bien Alain Finkielkraut, un intellectuel intelligent mais hélas boudé par les médias bien pensants, l'équipe de France n'est pas très représentative de notre pays, elle est "black black black". Pas étonnant qu'elle soit la risée du monde entier.

Plusieurs exemples qui montrent qu'il est interdit en France d'associer délinquance ou triche avec immigration ou étrangers. C'est encore une fois la dictature anti-raciste qui impose sa loi, en travestissant une réalité pourtant bien visible sur le terrain.

jeudi 19 novembre 2009

Des maires intelligents

Alors que les médias marxistes nous montrent uniquement des maires gauchistes qui s'opposent aux réformes pourtant nécessaires et courageuses du gouvernement, il existe d'autres maires, autrement plus intelligents, qu'il serait bon de mettre en avant.

Tout d'abord, André Santini, député-maire d'Issy-les-Moulineaux depuis 1983. Malgré des attaques judiciaires injustifiées, c'est un exemple de bonne gestion, puisqu'il externalise le plus possible de tâches pour les confier au privé. Un succès total puisque les bénéfices engendrés ne vont plus dans les poches d'une municipalité communiste, mais bien dans celle d'entreprises privées, créatrices d'emplois.

Ensuite, Patrick Balkany, député-maire de Levallois-Perret, lui aussi accusé à tord d'avoir détourné des fonds publics. Sa ville est pourtant un modèle, calme et prospère, notamment grâce à la présence de nombreuses caméras de sécurité. La ville fait figure de précurseur dans ce domaine. On notera aussi son courageux engagement contre l'adoption homosexuelle, à contre-courant du politiquement correct.

Enfin, sans doute le plus courageux de tous, Serge Dassault, sénateur-maire de Corbeil-Essonnes. Là encore, tout est fait pour le déstabiliser et l'empêcher d'être élu en invalidant son élection. Heureusement, une habile manoeuvre lui permet de contourner l'inégibilité qui lui a été injustement attribuée. Entrepreneur courageux, Serge Dassault est de ceux qui ne pratique pas la langue de bois. Dans sa ville, il a par exemple pris la décision courageuse d'interdire la cantine aux enfants de chômeurs. Ses nombreuses prises de position contre les aides aux chômeurs, les fonctionnaires, ou encore le droit du travail lui ont déjà valu plusieurs billets sur ce blog.

mercredi 18 novembre 2009

Contraception = meurtre

Mai 68 n'en finit plus de détruire petit à petit les Valeurs de la France. Après avoir permis l'avortement, la vente de pilule, de préservatifs, après avoir créé le très communiste planning familial, voilà que Ségolène Royal veut distribuer des kits de contraception dans les lycées !

S'il est assez évident que l'avortement est un meurtre, on oublie trop souvent de dire que la contraception relève du même principe : on empêche un enfant de naître. En ces temps troubles où la natalité des Français baisse au profit des immigrés qui se reproduisent comme des lapins, il serait bon de rétablir l'idée d'une famille française nombreuse.

D'autre part, donner comme ça des moyens de contraception aux jeunes de moins de 18 ans, tout comme ça l'a été avec la distribution gratuite de la pilule du lendemain, c'est les inciter à toujours d'avantage de débauche. A un âge où on devrait plutôt se consacrer à ses études et son avenir, et où on est incapable de comprendre les enjeux de la procréation, on n'a pas a avoir de rapports sexuels.

Mais les gauchistes, dont les tendances pédophiles ne sont plus à prouver, continuent à promouvoir le sexe libre chez les jeunes et les moins jeunes, si possible avec le plus de personnes différentes et hors mariage. C'est ainsi qu'on se retrouve avec des jeunes qui ont des rapports dès le lycée voir même le collège, des soirées étudiantes qui tournent à la débauche, des jeunes filles qui avortent sans se soucier de tuer des enfants... Tout ceci participe à la négation de la valeur "famille" qui faisait de la France une grande nation.

vendredi 13 novembre 2009

Libéraliser, pour une meilleure démocratie

Quand on parle de libéralisme, on parle bien sûr d'améliorer la compétitivité économique de nos entreprises. Une entreprise qui peut embaucher et débaucher à loisir sans droit du travail contraignant, au salaire qu'elle souhaite, fait bien sûr plus de profits qu'une entreprise sclérosée par des lois marxistes. Ce dont on parle moins, c'est de l'aspect démocratique du libéralisme.

Dans un pays comme le nôtre, où presque la moitié de la population travaille dans des services publics et où l'Etat a la main mise sur de nombreuses entreprises, on sait que la performance n'est pas au rendez-vous : trop de personnel hospitalier, des trains et des bus qui roulent quasiment vide et ne sont pas rentables, des facteurs qui font une tournée quotidienne même si c'est inutile, des fonctionnaires qui sont payés pour ne rien faire... Bien sûr, le gouvernement actuel va dans le bon sens en supprimant des fonctionnaires ou en réduisant la retraite des cheminots. Mais que se passerait-il si en 2012, un gouvernement de gauche arrivait au pouvoir ? Il se passerait alors la même chose que ce qui a plongé notre pays dans la misère pendant 25 ans de politique communiste. Tout ça parce qu'un pauvre a, électoralement, autant de poids qu'un riche.

Puisqu'il est difficile de changer de système de vote sans provoquer des réactions dans l'opinion publique, le libéralisme apparaît alors comme une solution au problème : en réduisant le rôle de l'Etat dans les entreprises, on réduit d'autant le risque d'un changement de politique et l'influence que peut avoir le peuple sur leur fonctionnement. Nos grandes entreprises sont alors confiées à des dirigeants issus des classes supérieures, dont les salaires dépendent avant tout des résultats financiers et pas des caprices de gens qui ne connaissent rien à l'économie.

Le libéralisme permet donc d'améliorer le fonctionnement de la démocratie, puisqu'il donne plus de poids aux riches, qui sont forcément plus compétents que les autres. Une preuve supplémentaire que ce système est infiniment supérieur au communisme.

jeudi 12 novembre 2009

Les Schtroumpfs : un exemple de propagande communiste déguisée

Les communistes utilisent parfois les moyens les plus insidieux pour faire entrer leur idéologie dans la tête des gens. Dès le plus jeune âge, il faut surveiller ce que lisent ou regardent les enfants, sous peine de les voir grandir et participer à des manifestations et des blocages de lycées une fois grands. Une éducation saine passe par l'apprentissage de valeurs qu'hélas l'école publique, sclérosée par les fonctionnaires marxistes, n'est plus en mesure de fournir, et comme si cela ne suffisait pas, d'autres éléments "culturels" permettent aux gauchistes d'installer leur idéologie.

Ainsi, le lecteur attentif aura remarqué que les Schtroumpfs font l'apologie du communisme. La société des Schtroumpfs représente en effet une société collectiviste dans laquelle toute initiative individuelle est prohibée. La ressemblance entre Karl Marx et le Grand Schtroumpf, avec son chapeau rouge, est d'ailleurs frappante. Quant au Schtroumpf Paresseux, il représente l'idéologie marxiste qui consiste à en faire le moins possible, c'est l'apologie du fonctionnariat et des RTT.

Chaque épisode se construit un peu de la même façon : un des Schtroumpfs, ou un élément extérieur, vient perturber le village, il faut donc empêcher toute innovation pour continuer à vivre comme avant. Certains épisodes sont particulièrement tournés contre le capitalisme. Par exemple, quand les Schtroumpfs tentent d'introduire un système monétaire, cela se termine par un échec. Pire encore, dans un épisode, un Schtroumpf se retrouve propriétaire de sa maison, il est alors vu comme un méchant, une attaque forte contre le droit de propriété qui est pourtant le premier des droits naturels.

Qui dit communisme dit aussi antisémitisme. C'est ainsi que le méchant de l'histoire, Gargamel, est dessiné avec un nez crochu pour faire penser aux Juifs. Il est grand, ce qui évoque les Etats-Unis. Plus évident encore, son chat Azraël n'est pas sans évoquer Israël. On a donc dans cette bande dessinée une idéologie islamo-gauchiste qui se dessine.

Il faut donc se méfier des lectures de nos enfants. L'idéologie communiste est présente même là où on s'y attendrait le moins. Il n'est pas étonnant que les médias, ces dernières années, se soient acharnées à rabaisser Tintin, en y voyant du racisme, alors que le monde présenté dans la BD d'Hergé est pourtant très fidèle à la réalité. C'est là un moyen de détourner les lecteurs pour les ramener vers leurs instruments de propagande.

mardi 10 novembre 2009

20 ans après, le totalitarisme existe encore

On aurait tord de se réjouir trop vite lors du vingtième anniversaire de la chute du mur de Berlin. Bien sûr, les populations d'Europe de l'Est auraient tord de se priver, elles qui ont connu le pire avec la collectivisation, l'Etat omniprésent, les goulags... Elles se sont converties avec joie au capitalisme, qui leur a permis de s'enrichir. Mais hélas le communisme fait encore des dégats considérables dans le monde !

N'oublions pas qu'à l'origine du communisme, il y a Karl Marx, qui défendait dans le Manifeste du Parti Communiste l'idée d'un Etat omniprésent qui déciderait de tout : tout le monde était alors fonctionnaire et ne travaillait pas, puisqu'ils étaient assurés de ne jamais perdre leur emploi ! Le communisme défendait donc l'idée qu'on devait en faire le moins possible. On a vu ce que cela donnait puisque tout le monde était pauvre. Le communisme vu par Karl Marx, c'était aussi les goulags pour les opposants au régime ! Et pourtant, on étudie encore ses livres dans les écoles alors qu'ils devraient être mis à l'index !

Si tout cela est aujourd'hui fini en Europe de l'Est, ça ne l'est hélas pas partout ailleurs dans le monde. La Corée du Nord est sans doute le pays le plus à gauche du monde, et là bas la dictature est totale. Cuba et le Vénézuela sont aussi des exemples de pays fortement communistes, dans lesquels la démocratie et la liberté n'existent pas. Bien évidemment, les pays dirigés par les partis islamistes ont aussi des politiques communistes, comme l'Iran ou la Palestine. Là bas, la haine de l'Occident leur fait refuser tous les progrès que pourraient pourtant apporter le capitalisme : la démocratie, le christianisme, la libre entreprise... Reste également la France, un des derniers pays occidentaux à avoir des partis socialistes et des syndicats influents, ce qui donne de désastreuses lois marxistes : 35 heures, congés payés, impôts, services publics empêchant la libre entreprise, lourdeur des charges sociales, droit du travail et droit de grève, sécurité sociale, immigration massive...

Heureusement, d'autres pays nous permettent d'espérer. La Chine, autrefois communiste, s'ouvre enfin aux vertus du capitalisme et de nombreuses entreprises occidentales y installent leurs usines, ce pays étant presque devenu l'avant-garde du monde moderne. En France, les réformes de Nicolas Sarkozy pour supprimer l'influence de la gauche se heurtent à une opposition encore forte qu'il faudra encore démanteler, mais le pays avance.

N'oublions jamais que le communisme, c'est le totalitarisme, ce sont des millions de morts de par le monde, juste par la volonté d'un seul homme, Karl Marx. Le communisme, c'est le refus du travail et la pauvreté pour tous. C'est vivre dans le passé. L'avenir est plus que jamais au capitalisme et au libéralisme. Eux n'ont jamais engendré de guerres, jamais de morts, au contraire, ils ont permis à ceux qui le voulaient de s'enrichir considérablement, et en cela, ils sont le seul système politique solide et fiable que nous devrions garder pour les siècles, que dis-je, les millénaires à venir.

mercredi 4 novembre 2009

Défendons l'identité nationale !

On ne remerciera jamais assez Eric Besson pour avoir su orienter l'actualité vers les véritables enjeux actuels. Comme toujours, les gauchistes préfèrent éluder totalement le sujet, en déclarant qu'il y a des sujets plus importants comme de donner toujours plus à ceux qui ne font rien, de défendre les privilèges effarants des fonctionnaires, ou de lutter contre un réchauffement climatique qui n'existe pas. Le seul autre sujet grave cette année était sans aucun doute la crise financière, mais les mesures courageuses prises par Nicolas Sarkozy montrent bien leur résultat et la Bourse repart à la hausse, ce qui prouve que la situation est redevenue normale.

On peut donc désormais s'intéresser à l'autre menace qui pèse sur notre pays qui est celle de l'immigration. L'identité nationale, c'est défendre la mémoire de nos ancêtres, qui, de Charlemagne à Charles Martel, se sont battus pour que la France soit le grand pays qu'il a été : catholique et républicain. Cet héritage a été menacé par mai 68 bien sûr, puis par l'arrivée de la gauche au pouvoir en 1981, ainsi que par les immenses vagues d'immigrations visant à remplacer l'église catholique par l'Islam, religion de la haine et du terrorisme.

De nombreux commentateurs l'ont prouvé, si on continue comme maintenant, la France ne sera plus chrétienne en 2050 et nos églises deviendront des mosquées. C'est pour empêcher cela, et non pas par un prétendu racisme dont on accuse tout ceux qui ne prêchent pas pour la pensée unique de gauche, qu'il faut stopper tout net l'immigration et affirmer haut et fort que notre pays doit et devra toujours rester le nôtre. Ce sont plutôt les anti-racistes et les étrangers qui font preuve de racisme anti-blanc.

Il serait également bon de réhabiliter des valeurs fondamentales, qui sont hélas aujourd'hui décriées par la pensée marxiste, que sont le travail, la famille et la patrie. Cette devise était pourtant on ne peut plus juste, mais les falsificateurs de l'Histoire l'ont salit en l'associant au nazisme, en oubliant que le nazisme est surtout proche du socialisme et donc de la gauche. On a donc ces trois mots par ordre d'importance.

En dernier la patrie, parce qu'il est important de défendre son pays et ses valeurs, mais qu'il est parfois nécessaire de le quitter, lorsque celui-ci vole à ses citoyens plus de la moitié de leur argent par exemple, de nombreux compatriotes partis sous la fiscalité plus clémente de la Suisse ou des Etats-Unis, ou bien pour pouvoir créer leur entreprise en toute liberté, peuvent en témoigner.

Une façon de protéger sa famille, seconde valeur, parce qu'il est important à notre époque de savoir se raccrocher à son groupe, son clan. Défendre la famille, c'est dire non au divorce et au mariage blanc. C'est dire non au PACS et au mariage homosexuel. C'est réaffirmer l'autorité paternelle avant tout.

Et enfin le travail, première des trois valeurs, bien avant la famille, car il vaut mieux travailler dur et laisser des domestiques s'occuper de ses enfants que de devenir un bon à rien qui se sert de la bonne excuse d'aller chercher ses enfants à l'école pour arrêter de travailler. Le travail, c'est ce qui fait avancer l'économie, et donc la société toute entière. Pour un employé, c'est à son entreprise qu'il doit son salaire, il est donc normal qu'en retour, il obéisse à ses supérieurs. Pour le patron, ou pour un investisseur, son entreprise, c'est sa vie entière. C'est lui qui l'a créé, à la seule force de ses mains, il est donc normal qu'il en retire tout bénéfice.

L'identité nationale, c'est donc bien plus qu'un simple drapeau et un hymne, c'est tout un ensemble de valeurs qu'il faut affirmer haut et fort. Certains voudraient éluder le débat ou remplacer ces valeurs par les leurs, que sont l'assistanat, le fonctionnariat, la sécurité sociale ou l'immigration massive, mais on a vu comme ces "valeurs" ont fait d'important dégat en prenant exemple sur le Tiers-Monde et en s'approchant de ses conditions de vie. Il est important de faire marche arrière pour retrouver enfin de vraies valeurs pour notre pays.