jeudi 1 septembre 2011

Un bel exemple de générosité

Face à une crise économique sans précédent, il est nécessaire d'agir afin d'éviter une catastrophe qui risquerait de nous faire revenir à la préhistoire. La chute du système économique pourrait en effet nous faire revenir à l'âge de pierre, ou pire encore, au communisme.

Pour contrer cette menace, ce sont bien ceux qui en sont les premières victimes sur qui l'on peut compter : les riches. Ils ne sont pourtant pas responsables de la situation, pour preuve : leur richesse a continué à s'accroitre, preuve qu'eux ont continué à travailler dur pendant que les pauvres se vautraient dans l'assistanat et aggravaient la crise.

Plusieurs grandes fortunes françaises ont donc accepté de payer une taxe exceptionnelle afin de lutter contre le déficit. Bien sûr, cette taxe doit être d'un montant modéré (moins de 1% des revenus) et n'intervenir que maintenant, afin d'empêcher l'exil fiscal et de ne pas peser sur la croissance. Les gauchistes, eux, préfèreraient des impôts lourds, injustes, durables et progressifs, afin de faire fuir les riches, ce qui serait désastreux pour l'économie.

En retour, il serait logique que les pauvres payent également de leur poche le déficit dont ils sont les uniques responsables. Cette taxe, bien que conséquente, ne suffira pas à le réduire durablement si on ne supprime pas dans le même temps toutes nos prestations sociales communistes, qui pèsent sur la performance économique de notre pays. Diminuer les charges des entreprises, privatiser les services publics, ou encore remplacer l'impôt progressif par une flat tax plus juste permettrait de relancer la croissance, et serait aussi un moyen de rendre aux grandes fortunes l'argent qu'ils ont généreusement accepté de donner par une taxe exceptionnelle. C'est d'ailleurs ce que soulignait Maurice Lévy dans son article : il veut bien faire un effort, mais à condition que celui-ci soit partagé par tous.

C'est là que l'on voit la différence entre d'un côté des riches généreux, soucieux de l'avenir de leur pays et de l'économie et prêts à défendre une cause juste et importante, et de l'autre des pauvres privilégiés, qui ne veulent surtout pas lâcher les avantages énormes qui leurs sont offerts par un système communiste, bien que cela mène à notre ruine à tous.