dimanche 20 mai 2012

Après 15 jours de socialisme, un bilan déjà désastreux

Il fallait s'y attendre : deux semaines après l'élection déloyale de François Hollande, on peut déjà constater un manque total de professionnalisme et de crédibilité. A l'international bien sûr, puisque face à Angela Merkel ou Barack Obama, le nouveau président fait bien pâle figure en tentant de négocier des "politiques de croissance", à l'opposé de celles imposées en Grèce et qui redressent le pays. Mais également dans d'autres domaines. Par exemple, en imposant à son escorte de s'arrêter à tous les feux rouges, François Hollande bafoue l'image du président qui doit être celle d'un chef au dessus des lois, et non pas celle d'un citoyen "normal". Et que dire de cette réduction totalement démagogique des salaires du gouvernement ?

Un tel désastre est bien sûr en grande majorité dû aux mensonges des médias gauchistes, qui pendant 5 ans ont voulu faire passer Nicolas Sarkozy pour un mauvais président, alors qu'il était le meilleur de tous. Seule une poignée de médias, de droite, tentaient de rester objectif : TF1, Le Figaro, Le Point, BFM, RTL, Europe 1, L'Express, Les Echos, Valeurs Actuelles, Le Nouveau Détective... que peuvent-ils face à Politis, Marianne, Mediapart ou France Inter ? Pas grand chose. C'est ainsi que 5 ans de gouvernement Sarkozy à redresser la France, diminuer le nombre de fonctionnaires, expulser des immigrés et faire briser de nombreux tabous furent entachés par une avalanche de critiques injustifiées et de soi-disantes "affaires", sans aucune preuve.

Les 5 prochaines années seront, à l'instar des années Mitterand, un nouveau déclin terrible pour la France, qui finira comme la Corée du Nord, à moins que les Français se réveillent et empêchent la constitution d'une majorité gauchiste à l'Assemblée Nationale. Ce n'est qu'ainsi que nous pouvons avoir une chance de continuer les réformes amorcées par Nicolas Sarkozy, afin de redonner à la France sa grandeur : celle de Charlemagne, de Napoléon, et pas celle de Léon Blum ou de Mitterand. Autrement, si le Parti Socialiste appliquait son programme, on verrait fuir les riches, nécessaires à notre pays, pour être remplacés par des immigrés venus profiter des allocations et imposer leur religion. Car c'est bien là ce que souhaitent les socialo-communistes : livrer la France à la charia et à la misère.

vendredi 4 mai 2012

Présidentielle : faire le bon choix

Alors que la campagne présidentielle se termine, les médias gauchistes voudraient nous faire croire que tout est joué et que François Hollande sera président. Heureusement, la réalité est bien différente et la majorité silencieuse saura faire le bon choix. C'est pour elle que Nicolas Sarkozy a fait depuis 5 ans de courageuses réformes afin de moderniser la France. Grâce à lui, notre pays a pu éviter la crise économique qui a frappé le reste du monde. Le déficit public s'est réduit, tout comme le chômage. La Sécurité Sociale communiste est en cours de démantèlement, la mise en concurrence des entreprises publiques se poursuit, et l'âge de la retraite est repoussé pour tenir compte de l'augmentation de l'espérance de vie.

A l'inverse, le Parti Socialiste promet l'austérité, la hausse des dépenses publiques, l'embauche de fonctionnaires, et toujours plus d'impôts. Souvenons nous de 1981 et de l'entrée des chars russes à Paris au lendemain de l'élection de François Mitterand ! Bien sûr, aujourd'hui la Guerre Froide est terminée et le bloc communiste est démantelé, mais cela n'empêche pas certains nostalgiques de Staline de souhaiter son retour. C'est le cas du PS et de tous les partis politiques de gauche. Le PS au pouvoir, c'est aussi l'entrée massive d'étrangers en France, attirés par les allocations généreusement offertes sur le dos des travailleurs. Avec le droit de vote, ils éliront en masse des partis qui rétabliront la charia et imposeront la burqa.

Mais le Parti Socialiste, c'est également moins de justice fiscale et des hausses d'impôts pour les plus riches. Avec des idées marxistes telles que le plafonnage des niches fiscales ou une tranche à 75% au delà d'un million d'euros, ce sont des milliers de riches qui n'auront d'autre choix que de quitter le pays. La France redeviendra donc un pays pauvre, puisqu'il ne restera plus que ça. Sans les entrepreneurs, les rentiers, les actionnaires, qui financera l'économie ? Pensez-vous vraiment que les millions de smicards seront capable de créer des richesses ? Avec leur démagogie anti-riches, les socialistes préfèrent opposer les Français les uns aux autres et désigner des boucs-émissaires pourtant innocents.

Seul Nicolas Sarkozy promet une justice fiscale par la baisse de l'impôt pour ceux qui ne méritent pas d'en payer. Seul Nicolas Sarkozy continuera l'expulsion des immigrés qui viennent piller la France. Seul Nicolas Sarkozy saura continuer les réformes nécessaires comme la suppression du droit du travail, ou la privatisation des services publics. Seul Nicolas Sarkozy peut s'enorgueillir d'un bilan exemplaire qui aura profité à la majorité silencieuse du pays, celle qui se lève tôt et travaille vraiment. Dimanche, aucune voix ne doit lui manquer afin d'éviter le pire pendant les 5 années à venir.