vendredi 31 juillet 2009

Le ministère de l'Intérieur piégé par la burqa

Il est décevant de voir que même au ministère de l'Intérieur, on peut se laisser avoir comme des bleus. Alors qu'une mission pour évaluer les dangers de la burqa avait été lancée, les intégristes musulmans ont vite senti qu'on risquait de les découvrir et ont fait ce qu'il fallait pour faire baisser les chiffres, en empêchant leur femme de sortir par exemple. Au final, c'est moins de 400 femmes potentiellement dangereuses qu'on a pu recenser, au lieu des quelques dizaines de milliers qui arpentent les rues chaque jour. Un courageux journaliste de Valeurs Actuelles qui a enquêté sur le sujet en allant vérifier par lui même au marché de Montreuil a pu mesurer l'ampleur du danger bien mieux que ne l'a fait le ministère de l'Intérieur.

Maintenant, les gauchistes amis des terroristes vont s'en donner à coeur joie pour critiquer la lutte contre l'islamisme en imaginant que ça n'est pas grave, que ça n'est que 400 femmes, et que de toute façon c'est leur choix, alors que le problème n'est pas vraiment celui du choix mais celui du respect de nos valeurs laïques et chrétiennes : les musulmans n'ont pas à importer leurs coutumes chez nous. De plus, si aujourd'hui c'est 400 femmes, demain, ça sera 40000, et après demain, 4 millions ? Il ne sera plus possible de sortir sans en croiser et craindre pour sa vie.

lundi 20 juillet 2009

Une décision inquiétante

Un lycéen ayant participé a des blocages avait reçu comme condition du proviseur qu'il signe un engagement écrit à ne pas recommencer. La punition est très peu sévère, et dans d'autres pays plus évolués et moins laxistes, il aurait sans doute eu droit à une peine de prison, mais l'action du proviseur était tout de même symbolique et aurait pu signifier la fin du non droit dans les écoles. Hélas, on est en France, et les droit-de-l'hommistes qui ont pignon sur rue trouvaient la punition encore trop élevée. Ils ont donc fait pression envers tout respect de la démocratie et obtenu la suppression de cette condition.

C'est une fois de plus la faillite de notre modèle gauchiste que l'on voit, qui cède face à n'importe quoi, et y compris face à des lycéens qui en prennent d'autres en otage pour pouvoir rester au chaud chez eux plutôt que travailler et réussir. Heureusement qu'il existe des groupes comme l'UNI-Lycée, qui a lancé l'association Réformons Nos Lycées pour soutenir le gouvernement et montrer que les lycéens ne sont pas tous des fainéants !

vendredi 17 juillet 2009

Leçon d'économie : la spéculation

Puisque les Français sont très mauvais en économie, je vais tenter de faire quelques explications simplifier pour dédiaboliser l'économie et montrer en quoi le système capitaliste et libéral est en réalité vertueux et intelligent, contrairement à l'autre modèle existant, le tristement célèbre modèle communiste.

Je vais parler de la spéculation. Dans l'imaginaire des Français, abrutis par la propagande des médias gauchistes, spéculer c'est mal puisqu'on gagne beaucoup d'argent. C'est pourtant un métier très respectable et surtout utile, puisque sans lui, pas d'économie, pas de création de richesses, et donc que des pauvres.

Prenons l'exemple d'un agriculteur qui produit des tomates. Il est à une des extrêmités de la chaîne, pendant qu'à l'autre bout, on a le consommateur qui va manger ces tomates. Le producteur va calculer combien lui coûte de produire des tomates, en temps, en ressources, etc... pour déterminer combien il va les vendre. Il pourrait les vendre directement au consommateur, mais faire passer des biens ainsi, sans passer par le circuit économique, va nuire à l'économie du pays qui sera vite en faillite. Si on était dans un système communiste, c'est l'Etat qui fixerait combien gagne l'agriculteur et combien seront vendues les tomates. Bien évidemment, ce système est dangereux puisque l'agriculteur sera incité à ne rien faire et à juste profiter de l'assistanat de l'Etat, tandis que du côté du consommateur, il les achètera à bas prix, et, les tomates valant peu, l'économie sera faible.

C'est là qu'intervient un intermédiaire utile : le spéculateur. Ca peut être un particulier, mais plus souvent une entreprise, qui va acheter les tomates au producteur pour les revendre plus tard au consommateur. Si la récolte a été bonne, ils achèteront beaucoup de tomates à bas prix, puisqu'elles ne sont pas rares. Elles seront ensuite mises sur les marchés financiers où la loi de l'offre et de la demande fera évoluer leur prix, le plus souvent à la hausse. Par exemple, s'ils achètent des tomates pour un million d'euros, et les revendent deux millions, c'est un million supplémentaire qui aura été généré sur le marché et donc dans l'économie. Les spéculateurs sont donc capables de créer des richesses et de l'argent, d'où leur utilité.

Mais si la récolte est mauvaise et que les tomates sont plus rares ? Pour le producteur, ça ne change rien, le spéculateur lui achètera toujours au même prix au kilo. C'est au producteur de prendre ses précautions en prévoyant de travailler plus pour produire plus, ou bien éventuellement de prendre une assurance. On prend bien sûr l'hypothèse d'une société vraiment libérale et non pas socialiste, dans ce cas, ça serait l'Etat qui aurait dédommagé le producteur (aux frais du contribuable), l'enfonçant alors dans l'assistanat, et générant de l'injustice sociale, de la dette et des impôts supplémentaires. Nos spéculateurs ont donc moins de tomates, puisqu'elles sont plus rares. A priori, la demande, elle, est toujours à peu près la même. C'est là que la magie du marché opère : les spéculateurs ont acheté, disons, 500 000 euros de tomates, mais comme l'offre a diminué, ils pourront les revendre plus cher. 500 000 euros peuvent donc devenir par exemple 3 millions, plus encore que si on avait une récolte normale ! Plus d'argent sur le marché, c'est donc une économie en meilleure forme !

Voilà pourquoi il arrive parfois que l'on détruise des récoltes quand elles sont trop abondantes : si l'offre est trop élevée par rapport à la demande, les prix seront trop bas et l'économie serait alors bien mal en point. Les spéculateurs ont donc aussi une fonction de régulation de l'économie, et en cela ils sont particulièrement utiles !

jeudi 16 juillet 2009

Une allocation anti-familles

La France est connue pour être le pays de l'assistanat par excellence : RMI, SMIC, APL... on ne compte plus les incitations à ne rien faire. Parmis toutes ces allocations, une est moins connue et particulièrement malvenue puisqu'elle incite à la destruction de la famille : c'est l'Allocation Parent Isolé (API). Elle est délivrée à toute personne qui élèverait ses enfants seuls. Tout comme le RMI incite les gens à arrêter de travailler pour le gagner, l'API incite les gens mariés à divorcer afin d'en profiter. On est donc dans la continuité de la politique soixante-huitarde de destruction d'une de nos valeurs éternelles qui est celle de la famille. Supprimer cette allocation, c'est forcer les célibataires, surtout des femmes, à se remettre en couple avec leur mari, et ainsi permettre à leurs enfants d'avoir une éducation équilibrée avec un père et une mère. Heureusement, le RSA est censé supprimer cette allocation indigne d'un pays catholique.

mercredi 15 juillet 2009

Un grand emprunt pour plus de justice

L'idée novatrice lancée par Nicolas Sarkozy d'un grand emprunt national a bien évidemment fait réagir la gauche qui s'oppose comme à chaque fois à toute bonne idée. C'est pourtant une idée plus qu'intéressante, bien qu'on puisse légitimement penser qu'elle va à nouveau endetter le pays. Mais cet emprunt sera bénéfique, puisqu'il offre à ceux qui ont les moyens d'investir un placement sûr et bien rémunéré. Ce sont donc les contribuables les plus aisés qui pourront le plus profiter de cet emprunt, tandis que le remboursement, lui, sera supporté par les classes moyennes et inférieures. C'est donc tout le contraire d'une politique qui prend aux riches, travailleurs et entreprenants, pour donner aux pauvres, en encourageant l'assistanat, comme ce qui s'est fait pendant les 25 ans où la gauche était au pouvoir. Après le bouclier fiscal, c'est donc une mesure supplémentaire pour rééquilibrer les richesses du pays dont ont été spoliés une grande partie des riches.