mercredi 30 septembre 2009

Réformons l'éducation

Je profite du courageux édito vidéo de Christophe Barbier pour faire un billet sur l'école en France comme certains ont déjà évoqué le sujet dans les commentaires.

On le sait, l'école publique en France exerce un monopole intolérable qui envoie les enfants dans les bras d'une horde de professeurs gauchistes, fainéants, toujours en grève (ou en vacances !), et prêts à faire autant de propagande marxiste que possible. Pas étonnant dans ces conditions que la France reste un pays gangréné par l'idéologie communiste !

Depuis mai 68, la déchéance morale de l'école est en marche et de plus en plus visible, au point d'en arriver aux désastres des écoles de banlieue (comme le dénonce très justement La Journée de la Jupe) : fin des sanctions corporelles, perte de l'autorité du maître, culte de l'enfant roi... Les résultats du bac en sont la preuve flagrante : les taux de réussite augmentent, ce qui prouve bien qu'il devient un diplôme bradé et que les jeunes sortent du lycée incultes ! Pas étonnant dans ce cas qu'ils soient si nombreux à voter à gauche.

Face à cela, l'école privé représente une alternative de qualité. Les professeurs ont des obligations de résultat, ce qui les force à travailler plus et mieux, et le fait de rendre les études payantes permet d'en faire de meilleure qualité, sans toucher a l'argent du contribuable. De plus, les écoles privées n'oublient pas les racines chrétiennes de la France et font une éducation religieuse aux jeunes, leur apprenant des valeurs morales importantes.

La suppression de l'école publique que préconise Christophe Barbier serait enfin la fin d'un monopole d'Etat, la fin du droit de grève pour les enseignants, qui a trop souvent empêché des parents d'aller travailler, la fin de la propagande marxiste, des baisses d'impôt avec la suppression d'un des secteurs les plus coûteux pour l'Etat, le véritable choix de son école, pour éviter les mélanges sociaux qui pénalisent les bons élèves, et le retour d'un enseignement de qualité dans lequel le maître n'est pas juste celui qui instruit, mais aussi surtout celui qui ordonne.

mardi 29 septembre 2009

Halte aux pédophiles !

L'arrestation du cinéaste gauchiste Roman Polanski est une très bonne nouvelle et un coup d'arrêt à la débauche sexuelle des mineurs. Même si toute la bien-pensance gauchiste le soutient, il faut rappeller qu'il a violer une fille de 13 ans, en prétendant qu'elle était consentante, alors qu'à son âge on ne peut pas l'être. Si elle avait été majeure, ça aurait été moins grave, mais c'était loin d'être le cas ! La sexualité est quelque chose de sérieux et qu'on doit faire le plus tard et le moins possible, dans le seul but de se reproduire ! Il est d'ailleurs scandaleux que la majorité sexuelle soit à 15 ans seulement, alors qu'elle devrait être à 18 voir même à 21 ! Mais depuis mai 68, toutes les valeurs se perdent et aujourd'hui, les jeunes ont une vie sexuelle dès le collège et les partouzes sont fréquentes dans les lycées ! N'oublions pas non plus les viols dans les cités d'immigrés, une réalité que nous rappelle le chef d'oeuvre La Journée de la Jupe.

On notera que dans le même temps, la Pologne, qui une fois de plus est en avance sur le reste de l'Europe, a autorisé la castration chimique sur les pédophiles, seule solution avec la peine de mort pour régler le problème, n'en déplaise aux droit-de-l'hommistes. Elle permettra en effet de stopper non seulement la récidive, très fréquente dans ce milieu, mais aussi leur reproduction, car comme l'a courageusement rappelé Nicolas Sarkozy, on sait que c'est une tare génétique, puisque ce sont souvent les enfants de pédophiles qui le deviennent à leur tour.

mardi 22 septembre 2009

Un film à voir

C'est bien connu, le politiquement correct et la pensée unique interdisent de dire la vérité sur les banlieues. On le voit bien dans les médias, les étrangers qui vivent dans les cités sont montrés comme étant de pauvres victimes du racisme des Français, alors qu'en fait, c'est eux qui sont racistes anti-blancs. Heureusement, un courageux réalisateur a décidé de braver la loi du silence pour révéler ce qu'il se passe vraiment dans les quartiers difficiles. Il a bien évidemment été confronté à toute la bien-pensance qui lui a mis des bâtons dans les roues (menaces de mort, refus de diffusion...), mais son film a finalement pu être vu par des millions de personnes qui ont découvert la vérité.

Contrairement à la plupart des films français qui montrent une image fausse de la banlieue, dans laquelle les délinquants sont montrés comme des victimes, La Journée de la Jupe ose dire la vérité et montre la vie telle qu'elle y est vraiment vécue par les enseignants qui doivent apprendre les valeurs de la République à des sauvages : menaces, intimidations, violences... C'est tout un monde dans lequel les élèves viennent armés à l'école et violent leurs camarades qui est révélé. Loin des clichés droit-de-l'hommistes des bobos qui ne vont jamais dans les quartiers "chauds", on peut enfin constater les dangers de l'immigration islamiste.

On y voit aussi, comme dans la réalité, des professeurs gauchistes qui font preuve d'angélisme et de naïveté en excusant systématiquement leurs élèves, preuve que l'Education Nationale est gangrénée par cette idéologie dangereuse.

La morale du film est magnifique : Sonia, l'héroïne, qui est elle-même fille d'immigré, a su s'intégrer à la République en abandonnant sa religion et sa culture pour adopter les valeurs de la France. C'est aussi parce que les immigrés refusent de changer de religion, mais aussi de nom, que le communautarisme menace notre pays.

Contrairement à l'élite gauchisante qui ne se base que sur ses lectures de Télérama et des Inrockuptibles pour se faire une idée de la banlieue, on sent que le réalisateur sait de quoi il parle. J'ai d'ailleurs moi même pu constater l'étendue du problème en étant passé quelques fois en voiture à Clichy, une ville proche de chez moi, où la communauté maghrébine est très importante : j'avais l'impression d'être à Alger, dans une véritable zone de non droit, remplie de boucheries hallal et de bars à chichas. Je tremble à l'idée que les habitants de ces quartiers puissent un jour faire une descente près de chez moi, car ce n'est pas très loin...

La Journée de la Jupe sort aujourd'hui en DVD, une bonne occasion de voir enfin ce film coup de poing et politiquement incorrect !

jeudi 17 septembre 2009

Une polémique ridicule

Les soit-disant propos racistes de Brice Hortefeux ont fait hurler le PS et tous les médias gauchistes, certains en appelant même à sa démission. C'est une façon honteuse pour un parti politique de faire oublier l'actualité sur les trucages d'un vote au sein de leur parti, qui prouve leur peu de respect de la démocratie. L'UMP, bien plus en avance sur son temps que le parti marxiste, n'a bien sûr pas ces soucis, puisque chez eux, tout le monde reste droit et uni derrière le chef Nicolas Sarkozy. Une réaction que l'on aimerait voir appliquée à l'ensemble du pays.

Mais revenons sur cette vidéo de Brice Hortefeux. Filmé a son insue, il a dit qu'il était dangereux d'avoir trop d'Arabes. Ou est le racisme dans cette phrase ? Nulle part, bien sûr, mais les associations anti-racistes aiment voir le mal partout pour faire parler d'elles. Au contraire, le ministre s'oppose ainsi au politiquement correct en disant une vérité trop souvent masquée. Il est en effet dangereux de voir de nombreux étrangers s'installer dans notre pays en important leurs coutumes et en voulant supprimer les nôtres. Insécurité, vols, meurtres, chômage, pauvreté : les chiffres le prouvent, tout ceci est apparu et s'est amplifié en même temps que l'arrivée en masse d'immigrés d'Afrique du Nord. Espérons que la population en prendra conscience et s'affranchira de la pensée unique droit-de-l'hommiste pour, enfin, imposer les mesures nécessaires contre l'immigration.

lundi 14 septembre 2009

Une grippe dangereuse

Il est peu probable que des gens aient échappé à l'information la plus importante du moment que représente le danger de la grippe A. L'épidémie se répand comme une trainée de poudre à travers la France, mais peu de gens semblent s'en alarmer. Le danger est pourtant double.

Évidemment, il y a le fait que ce virus reste mortel, comme celui de la grippe saisonnière. De nombreuses victimes sont hélas déjà à déplorer. Mais le second danger, bien plus conséquent, est qu'une grande partie des personnes actives pourrait être touchée. Et qui dit personnes malades, dit personnes qui ne vont pas travailler. Le désastre sur l'économie de quelques millions de personnes qui restent chez eux à rien faire au lieu de travailler serait énorme. Des personnes courageuses comme Frédéric Lefebvre avaient proposé des solutions innovantes, malheureusement rejetées par la pensée gauchiste qui cherche toujours à travailler le moins possible.

Heureusement, pour faire face à ce fléau, les laboratoires travaillent sur un vaccin, malheureusement retardé par des procédures de test longues, coûteuses et communistes, alors qu'une société libérale aurait permis la mise sur le marché de ces vaccins sans attendre. Dire qu'il se trouve encore des marxistes pour critiquer ces labos parce qu'ils gagnent de l'argent !