vendredi 4 juin 2010

Le problème des retraites

On parle beaucoup des retraites en ce moment, en oubliant de parler de l'essentiel, médias gauchistes oblige. Il est bon de parler de "problème" des retraites puisqu'il s'agit, effectivement, d'un problème. Mais l'action du gouvernement, loin de vouloir le supprimer, ne fait que le contourner en tentant de "sauver" les retraites. Pourquoi vouloir sauver un problème ?

L'idée même de retraite est communiste et devrait être supprimée. Aujourd'hui, on prive de liberté ceux qui voudraient travailler après 60 ans, en forçant ceux qui travaillent le plus (les riches, donc) à financer l'inactivité. C'est de l'assistanat pur et simple. Repousser l'âge de la retraite est loin d'être une solution. On aura le droit de travailler jusqu'à 65 ans, 70 ans, mais après ?

La solution, c'est la suppression totale de notre système de retraite. Celui-ci a largement prouvé son inefficacité et n'a plus de raison d'être. Pourquoi vouloir interdire à une personne de 70 ou 80 ans de travailler ? Beaucoup aimeraient pouvoir le faire. On dit qu'avoir une Rolex à 50 ans, c'est réussir sa vie. Mais après ? Est-ce suffisant ? Est-ce qu'on devrait arrêter de travailler une fois que c'est fait ? Sûrement pas. Prenons plutôt exemple sur des personnes admirables comme Serge Dassault, qui, à 85 ans, continue de cumuler les emplois : chef d'entreprise, sénateur, maire, rentier...

Et pourquoi devrait-on continuer à donner de l'argent à des gens qui ne travaillent pas ? Quelqu'un de débrouillard aura su économiser tout au long de sa vie plutôt que de mendier une retraite. L'investissement dans des fonds de pension, par exemple, permet d'assurer son avenir, et dans le même temps, de créer de la richesse, parce que l'argent, lui, travaille ! Loin d'être une "retraite" par capitalisation, un tel système permet de générer beaucoup d'argent, pour ceux qui lui confient leur argent, bien sûr, mais aussi pour ceux chargés de gérer ces fonds ! C'est un système bien meilleur que la "répartition", qu'on devrait plutôt appeler "spoliation".

C'est ce que fond la plupart des vrais créateurs de richesse. Une fois atteint un âge où le travail manuel comme par exemple trader ou chef d'entreprise devient un peu trop éprouvant, loin de quitter le monde du travail, ils se reposent sur la fortune qu'ils ont acquit pour se lancer dans la rente. Ils restent ainsi utiles à la société et produisent de la richesse. Ce sont eux que l'on devrait prendre en exemple plutôt que de les taxer encore et encore avec l'ISF ou l'impôt sur le revenu, tout deux fortement injustes.

3 commentaires:

jameswest a dit…

Rentier c'est un métier ? Toi ton métier c'est connard ;-)

Anonyme a dit…

ouais trop à fond derrière toi !! Allons dans les maisons de retraites secoués tout ces vieux cons ! Pourquoi pas travailler jusqu'à 95 ans ??? Moi ce qui me plairait par dessus tout ce serait des flics de 70 ans avec l' Alzheimer. C'est cool dit à ton papa de travailler jusqu'à sa mort , comme ça vers ses derniers jours on ira tous chez lui , comme Sarko avec Bête-en-cours ^^ Et puis merde chef d'entreprise c'ets crevant, physiquement après tu as encore plus d'arthrose que les maçons ^^

Le Parisien Liberal a dit…

pense à relayer le press release d'AL à ce sujet http://www.alternative-liberale.fr/index.php/index.php/economie/projet-woerth-sur-les-retraites-corporatisme-et-egoisme-intergenerationnel.html