lundi 8 mars 2010

L'avortement : parlons en

En cette journée de la femme, j'ai décidé de ne pas parler de politique, mais de société, pour soulever le lourd tabou qu'est l'avortement. Dans notre pays marxiste et laxiste, la situation est désastreuse puisque le planning familial, organisme soviétique tout puissant, peut se permettre non seulement de donner des contraceptifs aux plus jeunes pour les inciter à avoir une vie sexuelle précoce, mais pire, autorise n'importe quelle femme à commettre l'irréparable, à savoir l'avortement, et ce totalement gratuitement, aux frais du contribuable. Rappelons quand même que l'avortement est ni plus ni moins un meurtre, mais qu'on l'autorise sous prétexte de droit des femmes, ce qui est ridicule. De plus, il contribue à la diminution d'une population française de souche et chrétienne, qui se voit remplacée par une population immigrée musulmane.

Heureusement, la privatisation de la santé qui s'annonce pourrait sonner le glas de cette organisation, les femmes n'y ayant alors plus accès gratuitement, ni aux moyens de contraception, ce qui les inciterait à être raisonnables et à respecter les engagements de chasteté et de fidélité qui devraient s'imposer à chacun. Mais on peut tout de même s'en inquiéter. Car si des soins privés sont économiquement plus viables, puisque les médecins cherchent alors à multiplier les interventions pour augmenter leurs bénéfices (par exemple, plusieurs radios au lieu d'une), il serait grave que la même chose se passe pour les avortements, et qu'on continue ainsi à inciter les femmes à avorter, cette fois non plus par pur plaisir de pratiquer un meurtre, mais pour des raisons économiques.

Il faut donc prendre en compte tous les paramètres, et soulever que la seule suppression du planning familial ne peut pas résoudre le problème de l'avortement. Plutôt que d'attendre la privatisation de la santé et voir ce que ça donne, mieux vaudrait dès maintenant interdire totalement l'avortement, seule solution définitive pour ne plus jamais voir ces opérations barbares et contraires à l'éthique. Heureusement, pour faire bouger les mentalités, les lobbies pro-vie font un travail formidable de pédagogie, en tentant de culpabiliser les mères qui voudraient avorter. Sans eux, ce sont sans doute des charniers entiers d'enfants que l'on verrait.

4 commentaires:

Anonyme a dit…

apres une lecture totale de votre blog j en vient à me demander si vous n'etes pas profondément de gauche tant ce que vous défendez ridiculise encore plus la droite (qui y arrive deja tres bien toute seule). vous dites défendre la france mais c'est celle dont vous vous faite porte parole qui me fait peur. aucun dévellopemnt des idées, juste un vomi idéalogique raciste,réactionnaire et sans contenu. je continuerai néanmoins a venir voir votre cheminemnt intellectuel régulièrement, par pure curiosité.

bye
hotake

Suzanne a dit…

Les interdictions sur l'avortement peuvent être facilement renverser. On a juste à penser à des pays où l'avortement a été légalisé, pour ensuite être criminalisé, et rélégalisé de nouveau.

Ce qu'il faut, nécessairement, c'est la reconnaissance juridique du foetus, comme membre à part entière de la communauté humaine. Comme ça, on ne parle pas de la criminalisation d'une prétendue opération chirurgicale, mais une violation d'un droit humain.

lupinox a dit…

Si et seulement si, condition necessaire et suffisante, ta mère avait pu avorter !!! On aurait éviter un avorton de ton genre

Aurelien a dit…

Bon désolé, mais cher lecteurs vous etes vraiment plus con que con...

faut quand même pas être une flêche pour ne pas voir qu'il s'agit de second degré, mais ceci dit c'est tout de même magnifiquement écrit.

Toute mes félicitations,

D'ailleurs Hotake, c'est quand même dommage tu n'étais pas loin de la conclusion... il te restait un pas à franchir, mais tu n'as pas réussit à traverser... dommage, allez j'suis un mec cool de droite, avec un joli brushing comme notre teckel porte-parole, alors je te tend la main et viens rejoindre le monde du second degré