lundi 28 juin 2010

Expulsion d'un jeune handicapé : la honte

Entre le baccalauréat et la gestion de mon nouveau patrimoine, j'ai été très occupé ces derniers temps, ce qui m'a laissé peu de place pour commenter l'actualité. Une affaire m'a particulièrement interpellé et j'aimerais revenir dessus, car on en a assez peu parlé dans les médias : il y a quelques mois, un jeune Kosovar de 15 ans et sa famille ont été expulsés de France car ils n'avaient pas de papiers. Jusque là, rien d'exceptionnel, mais ce jeune homme était polyhandicapé, ce qui révèle plusieurs choses sur la politique de notre pays.

La honte, c'est le sentiment que je ressens en constatant ce qu'il se passe : une famille kosovarde  qui peut rentrer impunément en France sans aucun papier et y rester des années sans que personne ne réagisse. Au contraire, elle a même pu profiter de notre système de santé communiste aux frais du contribuable, prouvant par la même qu'il est plus que nécessaire d'en finir avec la Sécurité Sociale, qui attire chez nous des étrangers qui cherchent à en profiter.

L'affaire aurait pu s'arrêter là avec l'intervention exemplaire d'Eric Besson, mais c'était sans compter sur les associations gauchistes et droit-de-l'hommistes qui ont monté cette affaire en épingle pour faire financer les soins du jeune homme dans son pays d'origine ! Des médecins ont dû se déplacer aux frais du contribuables, des médicaments lui ont été fournis gratuitement, tout ça bien sûr alors qu'on est en période de rigueur et qu'il serait bon d'éviter les dépenses superflues.

De quoi prendre la mesure de l'assistanat en France : non seulement nos propres résidents peuvent être soignés sans avoir à payer et donc sans avoir besoin de travailler, mais c'est aussi le reste du monde qui se retrouve à en profiter à nos frais ! Il faudrait apprendre à cette famille la valeur travail et que les parents se mettent à trouver un emploi et travailler dur pour soigner leur fils, plutôt que de compter sur les contribuables d'un pays qui n'est même pas le leur. La France n'a pas vocation à soigner toute la misère du monde !

vendredi 4 juin 2010

Le problème des retraites

On parle beaucoup des retraites en ce moment, en oubliant de parler de l'essentiel, médias gauchistes oblige. Il est bon de parler de "problème" des retraites puisqu'il s'agit, effectivement, d'un problème. Mais l'action du gouvernement, loin de vouloir le supprimer, ne fait que le contourner en tentant de "sauver" les retraites. Pourquoi vouloir sauver un problème ?

L'idée même de retraite est communiste et devrait être supprimée. Aujourd'hui, on prive de liberté ceux qui voudraient travailler après 60 ans, en forçant ceux qui travaillent le plus (les riches, donc) à financer l'inactivité. C'est de l'assistanat pur et simple. Repousser l'âge de la retraite est loin d'être une solution. On aura le droit de travailler jusqu'à 65 ans, 70 ans, mais après ?

La solution, c'est la suppression totale de notre système de retraite. Celui-ci a largement prouvé son inefficacité et n'a plus de raison d'être. Pourquoi vouloir interdire à une personne de 70 ou 80 ans de travailler ? Beaucoup aimeraient pouvoir le faire. On dit qu'avoir une Rolex à 50 ans, c'est réussir sa vie. Mais après ? Est-ce suffisant ? Est-ce qu'on devrait arrêter de travailler une fois que c'est fait ? Sûrement pas. Prenons plutôt exemple sur des personnes admirables comme Serge Dassault, qui, à 85 ans, continue de cumuler les emplois : chef d'entreprise, sénateur, maire, rentier...

Et pourquoi devrait-on continuer à donner de l'argent à des gens qui ne travaillent pas ? Quelqu'un de débrouillard aura su économiser tout au long de sa vie plutôt que de mendier une retraite. L'investissement dans des fonds de pension, par exemple, permet d'assurer son avenir, et dans le même temps, de créer de la richesse, parce que l'argent, lui, travaille ! Loin d'être une "retraite" par capitalisation, un tel système permet de générer beaucoup d'argent, pour ceux qui lui confient leur argent, bien sûr, mais aussi pour ceux chargés de gérer ces fonds ! C'est un système bien meilleur que la "répartition", qu'on devrait plutôt appeler "spoliation".

C'est ce que fond la plupart des vrais créateurs de richesse. Une fois atteint un âge où le travail manuel comme par exemple trader ou chef d'entreprise devient un peu trop éprouvant, loin de quitter le monde du travail, ils se reposent sur la fortune qu'ils ont acquit pour se lancer dans la rente. Ils restent ainsi utiles à la société et produisent de la richesse. Ce sont eux que l'on devrait prendre en exemple plutôt que de les taxer encore et encore avec l'ISF ou l'impôt sur le revenu, tout deux fortement injustes.

mercredi 2 juin 2010

Nouvelle tentative de diversion de la gauche

L'actualité aurait pu mal tourner pour la gauche, avec le tôlé provoqué par les déclarations de Martine Aubry qui compare Nicolas Sarkozy à Bernard Madoff. Bien sûr, le PS ainsi que tous les médias ont considéré que Bernard Madoff était un mauvais gestionnaire, et quelqu'un de malhonnête, ce qui est bien évidemment faux. En revanche, c'était une bien mauvaise publicité pour le Parti Socialiste, qui s'abaisse à faire de la politique de caniveau pour rameuter des voix. Un niveau que l'UMP se garde bien d'atteindre, préférant faire avancer la France plutôt que de plonger dans les polémiques stériles. L'UMP a donc bien sûr attaqué Martine Aubry sur ce sujet, afin de montrer le véritable visage du PS, ce qui aurait pu donner lieu à des débats et des arguments intéressants.

C'était sans compter sur le contrôle qu'exerce la gauche sur les médias bien-pensants, puisqu'elle n'a pas hésité à se jeter sur un évènement bien plus mineur, qui de plus, se déroule à des milliers de kilomètres de chez nous. Quand Israël a décidé de se défendre face à une flotte de fanatiques se dirigeant vers leurs côtes, d'un coup, toute la classe médiatique détourne son attention de Martine Aubry, pour se concentrer sur cet incident.

De plus, fidèle à la pensée unique marxiste, tous les journalistes traitant la question ne font que reprendre la propagande du Hamas, qui veut faire croire que Tsahal aurait fait de nombreux morts injustifiés, et que les bateaux accostés n'étaient que de sympathiques militants pacifistes. Une version qui ne colle bien sûr pas à la réalité, qui, elle, est révélée dans une vidéo diffusée directement par Israël (une source fiable, donc). On y voit des soldats israëliens tenter de prendre le contrôle des bateaux sans violence, et qui se font lâchement agresser par des fanatiques musulmans armés de barres de fer et de couteaux. Un chargement qui n'avait donc rien d'humanitaire, mais qui allait plutôt servir à armer le Hamas.

Les soit-disant morts recensés ne sont sans doute rien de plus que des militants kamikazes, qui cherchent dans leur geste à salir l'image de la démocratie israëlienne. On ne s'étonnera pas non plus d'apprendre que cette flotte venait de Turquie, un pays extrémiste musulman. Une bonne raison de refuser leur intégration à l'Union Européenne !