Les médias marxistes ont beau tenter de taire l'affaire, en parlant d'autres sujets sans importances tels que la Grèce, la Belgique, la soit-disant affaire Balladur... Brice Hortefeux a tout de même le courage de faire sortir de l'ombre une histoire prouvant une fois de plus que l'Islam n'a pas sa place en France.
L'affaire Lies Hebbadj montre à quelle point cette religion est incompatible avec les valeurs chrétiennes de notre République : polygamie et libertinage n'ont pas leur place chez nous. Ce personnage, qui impose le voile, et interdit à ses femmes et ses enfants toute sortie, a de plus le culot de profiter des aides sociales françaises pour faire fortune. Ce genre d'abus des allocations familiales est hélas plus que fréquent, surtout chez les musulmans qui font beaucoup d'enfants pour les toucher, et prouve qu'il est grand temps de les supprimer, afin d'une part d'alléger les finances publiques, et d'en finir avec l'assistanat, mais également en stoppant l'incitation à la reproduction des étrangers, qui seraient, si on continue ainsi, plus de 50% de la population d'ici 2050, comme l'a courageusement révélé Éric Zemmour.
Qu'une femme reste chez elle est certes une bonne chose, puisqu'elle participe à l'éducation des enfants. Il est cependant dommage de voir que l'autorité du père ne fait plus foi dans les sociétés occidentales, qui ainsi perdent en influence et en poids face aux sociétés islamistes.
Non seulement une nouvelle loi est nécessaire pour tout ceux qui, comme Lies Hebbadj, abusent de l'hospitalité de notre pays, mais il est également plus que temps de renvoyer dans leur pays tous ces musulmans qui refusent l'intégration, la monogamie et le christianisme.
Bien sûr, les bobos bien-pensants de gauche crieront encore une fois à l'instrumentalisation, en refusant de voir la vérité en face. Car contrairement à ce qu'ils veulent croire, ce n'est pas une petite minorité qui est dans le cas de Lies Hebbadj, mais bien la grande majorité. Faisons tout pour qu'elle ne devienne pas la majorité de la population française.